Aujourd’hui, la capitale des Émirats arabes unis,Dubaï, possède la plus haute structure humaine jamais construite. Le Burj Khalifa, de ses 828 mètres de long,elle  a été inaugurée le 4 janvier 2010 en l’honneur de l’émir d’Abu Dhabi. D’une silhouette vertigineuse devenue l’image de l’émirat est l’attraction favorite des touristes du golf. 

 À ses pieds, les autres immeubles autour sont minuscules. La tour est haute comme  trois fois la tour Eiffel, il comporte sur plus de 160 niveaux des étages d’appartements, des étages de bureaux et un hôtel de luxe. Des touristes venus de tous les continents peuvent  magasiner dans le plus vaste centre commercial jamais créé avec plus de  1.200 boutiques. La tour a battu tous les records dont aussi l’élévateur le plus rapide du monde, d’une vitesse de 18 mètres par seconde qui vous transportera aux derniers étages en deux minutes. Ce chef d’oeuvre conçus par les l’ingénieur et architecte de Skidmore, Owings and Merrill de Chicago. Le budget total du projet s’élève à environ 1,5 milliard de dollars américains.

Aujourd’hui, les records du Burj Khalifa seraient-ils en passe d’être battus ? De nombreux compétiteurs sont sur leurs échelons. En Arabic saoudite, le projet Kingdom Tower  déjà débuté. Placée entre le désert et la mer Rouge, à Djedda, elle promet d’être l’immeuble le plus haut du monde en 2020, avec une hauteur de 1kilomètre. Dessinée par le même architecte que le Burj Khalifa.

Dans ce billet, je vais résumer et commenter un article du Journal de Québec, écrit par Stéphanie Martin, publié le 19 juin 2017. Le titre de l’article est « La Ville limite la hauteur des bâtiments ».

La ville de Québec limite les hauteurs des bâtiments, à la suite des consultations. Plusieurs bâtiments ont été réduis. Pour le maire Régis Labeaume, ces changements font en sorte que les futures générations sont protégées.

C’est à la fin du 19e siècle que les gratte-ciels sont apparus aux États-Unis. Les hauteurs se sont ensuite propagées aux tours de la planète. Pourtant, la ville de Québec N’en fait pas partir.

Le premier gratte-ciel de Québec, l’édifice Price, avec ses 16 étages, avait été inauguré en 1932.

En 1960, l’édifice Marie-Guyart (31 étages) symbolise l’entrée de la société québécoise dans la modernité.

Selon le professeur d’histoire à l’Université de Sherbrooke : « Les tours érigées dans les centres-villes nord-américains permettent de développer les villes à la verticale sur des terrains restreints. Elles deviennent aussi une façon pour les métropoles de projeter leur puissance économique et culturelle ». (Beauchamp, 22 novembre 2018)

Cependant, le professeur de l’École d’architecture de l’Université Laval, François Dufaux, se demande pourquoi : « Je ne comprends pas ces plans d’affaires. A-t-on tant besoin d’une tour de 65 étages au Québec ?  Pourquoi dépasser le règlement d’urbanisme qui s’arrête à 30 étages ? C’est un projet qui pourrait se démarquer de toutes sortes de façons, avec plusieurs édifices de 25 étages par exemple ». (Provencher, 16 novembre 2016)

Je pense que la ville de Québec ne devrait pas construire de plus haut bâtiment. Parce que la ville n’est pas asses commerciale et actives pour permettre des gros projets. Je peux comparer ce cas à construire un centre d’achats en campagne.

Donc, à votre avis, pensez-vous que des gratte-ciel ont leur place à Québec ?

Mon nom est Nicolas, on m’appelle plus souvent Nick. Je suis actuellement étudiant en génie civil et je suis passionné par l’art des bâtiments (l’architecture). Fils d’ingénieur, depuis tout petit j’ai eu la possibilité d’admirer des gros œuvres. Au fil des années, j’ai beaucoup voyagé ça m’a permis de croître ma passion. En visitant des structures immenses et complexes par exemple. La tour Eiffel, Burj Khalifa, Trump tower… et plein d’autres. Je veux partager ma passion avec le monde, c’est pour ça que j’ai créé un blogue. Donc, dans mon blogue je partagerai mes connaissance et mes expériences sur le sujet, plus précisément sur les gratte-ciel. J’espère que vous aimeraient la lecture. Merci.